Mais pourquoi j'ai été regarder moi... J'ai un fétiche sur les kobolds maintenant, t'es fier(e) de toi ??
Chookitypok
Bah ils se sont fait du blé pendant des années sur des viols et des abus sexuels sur mineurs non ? Si ça peux taper un peu dans votre portefeuille, ça vous fera les pieds mes cons. Même si c'est pas grand chose.
Un peu ouais. On me prend soit pour un Belge soit pour un Suisse parce que j'utilise septante, huitante et nonante. C'est quand même pas ma faute si c'est plus civilisé comme nombres 😎
Thanks but I already knew she was a piece of shit.
J'ai terminé The Boys, le comics de Garth Ennis qui a légèrement inspiré la série du même nom. Et c'est pas un euphémisme tellement les deux trucs sont différents, enfin bref.
Entre les moments où l'auteur détourne son récit pour insérer ses vues, ses grands moments de justesse et ses contradictions, je sais pas quoi en penser. C'est un effort impressionnant lorsqu'il s'agit de démolir son propos en ne voyant pas qu'on y participe aussi activement, ça c'est certain...
Encore de la grande littérature, mais ranafoute, je l'ai dévoré ce truc : The Beginning After the End, un webcomic (une gauche dans la gueule) du genre isekai (suivi d'un spinning back fist pour le KO). Alors ouais, y a tous les clichés du genre, not' gars meure pour être réincarné dans un monde de fantasy, il est un peu beaucoup élu des dieux, utilise les connaissances de son ancienne vie pour montrer qu'il en a une grosse, et il se constitue un harem de jeunes donzelles, etc... Sauf que... bah c'est bien fait en réalité. Déjà c'est pas un gros pervers comme dans Moche-au-cul Tensei ou Redo of a Diddler, chai pas trop quoi. Le petit Arthur, ça le ronge de s'attirer les faveurs de jeunes filles dont il pourrait être le padré, et il ne compte pas entretenir de relation autre qu'amicale avec elles. Mais c'est pas pour autant qu'il sait comment les repousser sans les blesser, la faute à son ancienne vie de roi, et ouais, qui ne lui aura pas permis d'avoir de relations humaines sincères à cause du protocole et un peu beaucoup à cause du trauma personnel. Franchement, même si de prime abord c'est rebutant à cause du genre, faut lui laisser une chance. 10 à 20 chapitres disons.
Said it already, the slow death is accepting that the treatment should go to those who can afford it. That's the unacceptable compromise for leftists...
What can I say, my Gary is called anarchism 😛
To reuse the analogy, I'm not saying that everyone becoming immortal will happen in a finger snap, I'm saying that "just dying from cancer Vs. chemo for a few wealthy" is a bullshit choice. The first wee basic step we should strive for is to make the treatment available to all those suffering from cancer.
Revolutionary acts aren't constrained to violence. Prefiguration is revolutionary and as much, if not more important than throwing molotovs while wearing a facemask with a big circled A on it.
What about working for the no death ?
With our latest promo, you can even have a full genocide as long as your communication remains civil !
J'ai découvert The Orville y a quelques semaines. Au départ j'imaginais que ce serait juste une parodie de Star Trek TNG, et il y a de ça bien sûr, mais la série parvient à trouver son identité assez vite et aborde des sujets actuels avec ce qu'il faut de justesse et de pointes d'humour pour éviter que les choses deviennent sinistres. Vraiment, la barbe pousse d'épisode en épisode.