J'ai eu de la chance du côté des proches. Des années avant de devenir une esktrémiste végane, je rebattais déjà les oreilles de tout le monde avec les questions de la souffrance et de l'exploitation animale. Quand j'ai vraiment sauté le pas, ça a été pris comme une conclusion logique par mon entourage. Mieux encore, ça a servi de déclencheur pour plusieurs personnes qui n'attendaient visiblement que ça pour s'y mettre, même si la plupart reste flexi à l'occase (on peut pas tout avoir hein). La pire réaction que j'ai reçue, c'est celle d'un collègue qui essayait de me provoquer en s’enorgueillissant d'aimer savoir que des animaux crevaient pour sa bouffe, et d'autres trucs du genre, le tout avec un sourire narquois de vieux Kevin de cours d'école. Il m'a fait plus pitié qu'autre chose.