La sous-préfecture, qui accueille le village olympique, le Stade de France et le Centre aquatique olympique, a discrètement acquis un logiciel de vidéosurveillance algorithmique. Sans appel d’offres, sans délibération du conseil municipal ni étude d’impact, et sans en avoir tenu informé le collège d’éthique de la vidéosurveillance.

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Si l’usage de grenades, balles de défense et autres canons à eau est à présent bien connu des manifestants français, d’autres dispositifs sont expérimentés pour dissuader toujours un peu plus la population de protester dans l’espace public. C’est le cas avec la société Anatox qui propose aux forces de l’ordre des innovations d’identification ou de dissuasion olfactives.

Barricades and restricted zones set up as city centre experiences militarisation not seen since second world war