Fela Kuti is to African music what Bob Marley is to reggae: its prophet. All contemporary forms of black music, from funk to electronic, owe something to the irresistible groove of the Afrobeat sound that he created. He recorded more than 60 albums and spent a lifetime fighting against political corruption in his homeland of Nigeria, where the people affectionately called him their "Black President."

Shot in Lagos at the peak of his career in 1982, this documentary contains interviews with Fela detailing his thoughts on politics, Pan-Africanism, music and religion, alongside unpublished versions of songs like ITT, Army Arrangement and Power Show. For all who wish to know more about an artist at the heart of African musical history, Fela Kuti: Music is the Weapon is an essential film.

Musique traditionnelle iranienne, Magnifique voix feminine,

https://boutique.arte.tv/detail/le_sel_de_la_terre

Une bouleversante ode à Sebastião Salgado, l'un des plus grands photographes humanistes.

Depuis quarante ans, le photographe Sebastião Salgado parcourt les continents sur les traces d’une humanité en pleine mutation. Alors qu’il a témoigné des événements majeurs qui ont marqué notre histoire récente : conflits internationaux, famine, exode…

il se lance à présent à la découverte de territoires vierges aux paysages grandioses, à la rencontre d’une faune et d’une flore sauvages dans un gigantesque projet photographique, hommage à la beauté de la planète. Sa vie et son travail nous sont révélés par les regards croisés de son fils, Juliano, qui l’a accompagné dans ses derniers périples et de Wim Wenders, lui-même photographe.

Un chercheur d'or adossé à un poteau en bois au milieu de la fourmilière de la mine d'or de Serra Pelada au Brésil. Devant cette photographie qu'il découvre pour la première fois dans une galerie, Wim Wenders déclare : "Je ne savais pas qui l’avait prise, mais je me suis dit que ce devait être un grand photographe et un aventurier."

L'auteur de ce cliché n'est autre que Sebastião Salgado, un ancien économiste et réfugié politique brésilien, tombé amoureux de la photographie à 29 ans grâce à sa femme Lélia. Sa passion le poussera à explorer les quatre coins du monde. À travers son objectif, il révèle depuis quarante ans les grandes tragédies humaines : la famine au Sahel, les exodes de population en Yougoslavie ou encore le génocide au Rwanda, qui le marque profondément. "Je ne croyais plus en rien. Personne ne méritait de vivre."

Désillusionné, le photographe se détourne de son art. Accompagné de son épouse, il décide de rentrer au Brésil, sur sa terre natale du Minas Gerais, et de reboiser dès 1998 les terres arides de la ferme familiale. Après huit ans de travail, le couple ressuscite l'écosystème de la mata atlântica, la forêt primaire. Ce vaste chantier redonne espoir à Salgado qui reprend son appareil pour démarrer un nouveau projet photographique intitulé "Genesis", hommage magistral à la nature et sa beauté.

https://www.francetvinfo.fr/culture/arts-expos/photo-salgado-compose-une-lettre-d-amour-a-la-planete_419443.html Extrait

Pendant huit ans, le photographe brésilien a parcouru les régions les plus isolées de la planète pour révéler leur beauté cachée.

L'exposition de Sebastião Salgado à la Maison européenne de la photographie, à Paris, jusqu'au 5 janvier (fini) va en décontenancer plus d'un. Le Brésilien était surtout connu pour ses reportages photos dénonçant les conditions de vie des plus démunis, à l'image de sa série aux côtés des travailleurs de la mine d'or de Serra Pelada, par exemple. Dans son dernier projet, intitulé Genesis, les préoccupations de l'artiste sont d'ordre purement environnemental.

En compagnie de son fils Jacques et de sa femme, Lélia (également commissaire de l'exposition), le photographe est parti pendant huit ans à la découverte des rares parties du monde restées "inchangées depuis des millénaires", à la rencontre de tribus isolées et d'animaux sauvages (des lions de mer de l'Antarctique aux éléphants d'Afrique). Le résultat ? "Une lettre d'amour à la planète", à mi-chemin entre journalisme et ethnographie, se décomposant en clichés d'une beauté saisissante.

https://www.esa.int/Science_Exploration

One of the greatest strengths of the NASA/ESA/CSA James Webb Space Telescope is its ability to give astronomers detailed views of areas where new stars are being born. The latest example is NGC 346, the brightest and largest star-forming region in the Small Magellanic Cloud, showcased here in a new image from Webb’s innovative Mid-Infrared Instrument (MIRI), half of which was provided by Europe.

The Small Magellanic Cloud (SMC) is a satellite galaxy of the Milky Way, visible to the unaided eye in the southern constellation Tucana. This small companion galaxy is more primitive than the Milky Way in that it possesses fewer heavy elements, which are forged in stars through nuclear fusion and supernova explosions, compared to our own galaxy.

Since cosmic dust is formed from heavy elements like silicon and oxygen, scientists expected the SMC to lack significant amounts of dust. However the new MIRI image, as well as a previous image of NGC 346 from Webb’s Near-Infrared Camera released in January, show ample dust within this region.

In this representative-colour image, blue tendrils trace emission from material that includes dusty silicates and sooty chemical molecules known as polycyclic aromatic hydrocarbons, or PAHs. More diffuse red emission shines from warm dust heated by the brightest and most massive stars in the heart of the region. An arc at the centre left may be a reflection of light from the star near the arc’s centre (similar, fainter arcs appear associated with stars at lower left and upper right). Lastly, bright patches and filaments mark areas with abundant numbers of protostars. The research team has detected 1001 pinpoint sources of light, most of them young stars still embedded in their dusty cocoons.

This image includes 7.7-micron light shown in blue, 10 microns in cyan, 11.3 microns in green, 15 microns in yellow, and 21 microns in red (770W, 1000W, 1130W, 1500W, and 2100W filters, respectively).

By combining Webb data in both the near-infrared and mid-infrared, astronomers are able to take a fuller census of the stars and protostars within this dynamic region. The results have implications for our understanding of galaxies that existed billions of years ago, during an era in the universe known as 'cosmic noon', when star formation was at its peak and heavy element concentrations were lower, as seen in the SMC.

This new image taken by Webb’s Mid-Infrared Instrument (MIRI) complements Webb’s view of NGC 346 as seen by the (NIRCam), released in January 2023.

Image description: The lower half of this image contains arcs of bluish material that form a boat-like shape. One end of these arcs points to the top right of the image, while the other end points toward the bottom left. Another plume of blue filaments expands from the centre to the top left, resembling the mast of a sailboat. Within and extending beyond the boat shape are translucent curtains of pink, which cover most of the image. Stars are noticeably scarce. A couple dozen bright pink patches with six short diffraction spikes are scattered within the blue filaments. Many faint blue dots, or stars, also speckle the background, which is black or dark grey.

‪[photo] Milky Way Panorama from Mauna Kea

Credits: Wally Pacholka, TWAN.

https://universeodon.com/@world_beauty/111050883557577991
@autour_du_monde

#nature #space #astrophotography ‬

http://mr.travelbymexico.com/2964-dia-de-muertos/

https://www.reddit.com/r/Art/comments/es5zfb/d%C3%ADa_de_los_muertos_me_photography_2017/

https://www.reddit.com/r/pics/comments/drmsde/dia_de_los_muertos_women/

Aujourd’hui, La Catrina est la création la plus reconnaissable de Posada. Elle est l’icône du Jour des morts, la fête annuelle mexicaine en l’honneur des défunts qui a lieu chaque année les 1er et 2 novembre. Son visage est reproduit à l’infini pendant la fête, à tel point qu’elle est devenue le totem national officieux du Mexique, après la Vierge de Guadalupe.

Si certains pensent qu’il en a toujours été ainsi, La Catrina est en réalité une icône transculturelle dont le prestige et la popularité sont à la fois le fruit d’une invention et d’un accident.

https://frankpe.com/

Dans un monde que le progrès étouffe, dans la triste grisaille de la ville mise à mal par le dieu Pognon, Broussaille apparaît, tel un rayon de soleil, éclatant de joie de vivre et d'émerveillement. Amour de la nature et amour tout court marquent l'aventure intérieure d'un garçon qui refuse la glaciale prétention des technocrates d'aujourd'hui. "Broussaille", c'est un hymne flamboyant dédié à l'optimisme et au bonheur.

Une de mes BD de mon enfance. Et le personnage qui m'avait marqué était ce faune. Un bel être incroyablement positif, un brin philophique. Tout devenait tendre, plus apaisé. Et Frank Pé, son dada, c'est les animaux ! ☺️

Voici un super blog pour vous faire voyager 😍 https://lecture.cafeduweb.com/lire/12743-broussaille-serie-dupuis-bande-dessinee-frank-bom-avis-la-nuit-du-chat-sculpteurs-de-lumiere-baleines-publiques-le-faune-sous-deux-soleils.html

publication croisée depuis : https://lemm.ee/post/13238614

Corto Maltese (Andalusian slang for "quick hands") is a laconic sea captain adventuring during the early 20th century. A "rogue with a heart of gold", he is tolerant and sympathetic to the underdog. Born in Valletta, 1887, he's the son of a British sailor and an Andalusian–Romani witch. As a boy growing up in the Jewish quarter of Córdoba, Maltese discovered that he had no fate line on his palm and therefore carved his own with his father's razor, determining that his fate was his to choose. Although maintaining a neutral position, Corto instinctively supports the disadvantaged and oppressed.

The character embodies Pratt's skepticism of national, ideological and religious assertions. Corto befriends people from all walks of life, including the murderous Russian "Rasputin," British heir Tristan Bantam, voodoo priestess "Gold Mouth" and Czech academic Jeremiah Steiner. He also knows and meets various real-life historical figures, including Jack London, Ernest Hemingway, Hermann Hesse, Butch Cassidy, James Joyce, Gabriele D'Annunzio, Frederick Rolfe, Joseph Conrad and others. His acquaintances treat him with great respect, as when a telephone call to Joseph Stalin frees him from arrest when he is threatened with execution on the border of Turkey and Armenia.

Corto's favourite book is Utopia by Thomas More, but he never finishes it. He also read books by London, Lugones, Stevenson, Melville and Conrad, and quotes Rimbaud.

The Corto Maltese stories range from straight historical adventure to occult dream sequences. He's present when the Red Baron is shot down, helps the Jívaro in South America, and flees Fascists in Venice, but also unwittingly helps Merlin and Oberon to defend Britain, and helps Tristan Bantam to visit the lost continent of Mu. --WP

Bio de l'artiste Gengoro Tagame

Gengoroh Tagame (田亀源五郎, Tagame Gengorō) est un artiste et mangaka japonais, né le 3 février 1964 à Kamakura (Kanagawa).

Il est connu pour ses illustrations homoérotiques très crues, voire franchement pornographiques, qui reprennent les codes des mangas pour adultes les plus violents. Il est un des rares artistes gays japonais à représenter des scènes aussi crues, avec des rapports sexuels souvent sado-masochistes, barbares ou sanglants, et de récurrentes scènes de viols, dans un contexte militaire ou policier.

Résumé

Yaichi élève seul sa fille Kana. Un jour, leur quotidien est perturbé par l'arrivée d'un Canadien, Mike Flanagan, qui n'est autre que le mari du frère jumeau, aujourd'hui décédé, de Yaichi. Mike est venu faire un voyage identitaire dans la patrie de l'homme qu'il aimait mais Yaichi ne sait absolument pas comment se comporter vis-à-vis de ce beau-frère homosexuel. Kana l'y aidera.

Retour

Nous voilà au Japon, un manga qui m'a beaucoup touché est la série "Le mari de mon frère". Le dessin est simple, doux, un peu froid qui ressemble beaucoup au style de Jiro Taniguchi.

En revanche, la force de ce manga sont les expressions de ses personnages et les dialogues qui sont bien construit. J'aime bien aussi la représentation de leur corps qui est affiché sans pudeur. :P Autre chose chouette dans cette série c'est les petites entractes culturelles, des petites pages blanches que reviennent sur certains passages abordés par le manga. :)

Il est question de l'homosexualité au japon qui reste très ancré dans les valeurs traditionelles nottament le mariage homme-femme. Il suffit de jouer à Persona 5 pour le comprendre. Dans Persona 5, un couple d'homo est représenté de manière bizarre avec tout un ensemble de rituel homme-femme. L'éditeur Atlus a du revoir certains passages dans Persona 5 pour sa version occidentale.

À l'occasion de la sortie de son dernier film "Le Garçon et le héron". France Inter vous propose de revenir sur la carrière de l'un des plus grands cinéastes japonais, Hayao Miyazaki. Une grande soirée animée par Frédérick Sigrist à suivre en direct sur l’antenne et sur Twitch.

Une soirée spéciale Miyazaki peuplée d'invités venus de divers horizons et qui se succéderont pour nous parler de leur affiliation à son œuvre, à la spécificité de cette animation, et au mythique studio Ghibli. L'occasion de revenir sur cette sortie et sur les moments forts qui ont jalonné la carrière du réalisateur, à travers notamment ses plus gros succès comme Le Voyage de Chihiro (2002), Le Château ambulant (2005) ou encore Princesse Mononoké (2000).

De 21h à 2h du matin, des spécialistes et de grands amateurs de l'univers de Miyazaki échangeront donc dans un cadre convivial, animé par Frédérick Sigrist. Le standard sera ouvert toute la soirée par téléphone ou via Twitch pour que vous puissiez intervenir et nous raconter quel est votre Ghibli préféré.

Née en eaux troubles, fruit d'une discorde constructive, riche en discussions, en idées, j'ai eu envie de poser un autre regard sur cette planète de merde ! :D

Vous connaissez le film Demain ? ça fait du bien, non ? On se dit c'est possible, mais c'est génial j'ai envie de faire ça ! Vous kiffez la culture et aimez découvrir l'histoire et le regard d'un pays à travers ses livres, monuments, cinéma ?

Voilà dans les grandes lignes ce que nous essayerons de construire. :D

(Pas sûr du titre, si vous avez plus d’infos bienvenu·e·s! ;-) )

Goddard's GIANT optical navigation software helped guide the OSIRIS-REx mission to the Asteroid Bennu. Today its developers continue to add functionality and streamline useability for future missions.

As NASA scientists study the returned fragments of asteroid Bennu, the team that helped navigate the mission on its journey refines their technology for potential use in future robotic and crewed missions.

NASA is demonstrating laser communications on multiple missions – showcasing the benefits infrared light can have for science and exploration missions transmitting terabytes of important data.

Extrait

Fondateur des éditions Vertige Graphic puis Rackham et ami d’Alberto Breccia (15 avril 1919 – 10 novembre 1993), Latino Imparato a beaucoup œuvré pour sa traduction en France, portant un regard complet sur sa carrière, sa réception et son influence. À l’occasion de cet entretien, nous revenons sur l’aspect politique de son œuvre et de celle d’autres auteurs argentins, mais aussi sur certains malentendus liés à cette volonté de politiser les productions argentines, parfois pour des raisons plus liées au marketing qu’au fond.

L’Éternaute 1969, première version, d’Alberto Breccia et Héctor Oesterheld, réédition de 2010 chez Rackham

Latino Imprato : Ce qu’il faut toujours bien garder en tête c’est que chez Breccia forme et fond sont un tout, on ne peut pas les dissocier. Son audace n’est pas que graphique, elle frappe aussi dans ce qu’il remue de l’Argentine. Mais soyons honnêtes, si l’on veut faire de la politique c’est dans la rue, on manifeste, on tient des barricades, on ne fait pas de la bande dessinée. Ce qu’on peut faire en tant qu’auteur ou éditeur c’est tenir des positions, donner des idées, qui peuvent se transformer en actes politiques. C’est très important d’avoir le distinguo en tête.

Un auteur va donner une vision du monde, Breccia disait toujours, il l’a répété et répété, « Je ne vis pas dans une bulle », tout ce qui se passe autour de lui se retrouve dans ses travaux. Dans la deuxième édition de Buscavidas, on trouve à la fin un recueil de tous les croquis liés à l’œuvre [Fig. 6]. Sur ces croquis il y a des annotations au crayon, qui commentent ce qui se passe dans sa vie et vont de la santé de ses fils à sa condition économique, en passant par la guerre des Malouines, qui se déroule alors qu’il dessine un épisode.

La suite de l'interview : https://web.archive.org/web/20220717071438id_/https://journals.openedition.org/caravelle/10859

L’ambition de la Maison Guerlain et de Lee Ufan Arles pour ce nouveau prix d’art contemporain est d’« encourager des productions artistiques résolument altruistes et responsables, ouvrant de nouveaux dialogues avec la nature ». Le tout premier lauréat du Art & Environment Prize se nomme Djabril Boukhenaïssi, il a trente ans, est diplômé des Beaux-Arts de Paris et pratique notamment la peinture figurative et la gravure. Il bénéficiera d’une résidence suivie d’une exposition dans l’espace MA à Lee Ufan Arles l’été prochain.

Djabril Boukhenaïssi, Camélia, 2020 © Galerie Sator

Si Djabril Boukhenaïssi travaille la notion de disparition, il s’intéresse également à celle d’artificialisation en se demandant : Par quoi remplace-t-on ce qui a disparu ? « J’ai 30 ans, j’appartiens à une génération qui a vécu toute son existence avec en bruit de fond, le mot « disparition ». Déjà petit, on me parlait de la disparition des emplois par exemple, la disparition de la neige, la disparition des espèces. Parfois je suis assez étonné des réponses de l’humanité. Il y a une espèce de résurgence systématique d’artificialisation des phénomènes naturels. Il n’y a plus de neige, on produit de la fausse neige. Il n’y a plus d’abeilles, on propose de faire des abeilles robots qui pollinisent.»

TA (TraumaAvertissement) : La vie difficile des migrants, photos de blessés, traversées dangereuses...etc

Perpignan – Colombian photographer Federico Rios Escobar won the ICRC Humanitarian Visa d’or Award for his photo report on migrants trying to cross the Darién gap between Colombia and Panama in Latin America.

https://youtu.be/xA7x704df9c